« Faire sa rentrée en cinq sorties » avec… Salomé Kiner
17 février 2023 • 09:30-12:30
Médiathèque Louis Aragon, Rosny-sous-Bois
Centre Jean-Vilar, 20 mail Jean-Pierre-Timbaud
Comité romans contemporains 2023
Séance 1 : « Faire sa rentrée en cinq sorties » avec… Salomé Kiner
Ce premier rendez-vous de l’année du comité est consacré à la rentrée littéraire de janvier/février autour d’une sélection de cinq livres choisis et présentés par Salomé Kiner.
Ce moment convivial sera l’occasion d’échanger avec elle sur vos impressions de lecture.
Critique littéraire et journaliste notamment pour Le Temps et la RTS en Suisse, Salomé Kiner partage son temps entre l’animation littéraire (salons du livre, rencontres, festivals) et les reportages pour la presse écrite. Elle est l’autrice d’un premier roman remarqué, Grande Couronne paru chez Christian Bourgois éditeur en 2021.
La liste des titres à lire :
Mariana Enriquez, Les Dangers de fumer au lit
Ed. du Sous-sol, janvier 2023
Présentation de l’éditeur
Lauren Groff, Matrix, L’Olivier, janvier 2023
Présentation de l’éditeur
Seynabou Sonko, Djinns, Grasset, janvier 2023
Présentation de l’éditeur
Nasim Marashi, La dernière saison, Zulma, janvier 2023
Présentation de l’éditeur
Victoria Lomasko, La dernière artiste soviétique
The Hoochie Coochie, parution le 17 février 2023
Site de l’éditeur
Née en 1978 en Union soviétique, Victoria Lomasko interroge, trente ans après la partition du bloc de l’Est, les vestiges de cet empire autant en Russie que dans les nouveaux Etats apparemment indépendants. Et tandis même que la pandémie de Covid 19 bouscule ses plans, le livre se mue en un témoignage d’une époque qui a vu le plus vaste pays du monde passer d’un sordide régime autoritaire à une effrayante dictature.
Les dernières lignes du présent roman graphique furent écrites au début de l’exil de l’autrice, qui a débuté en mars 2022. Fidèle à la tradition littéraire russe où un livre ne traite que rarement d’un sujet unique, Victoria Lomasko dépeint à travers La Dernière artiste soviétique le portrait populaire d’un monde en équilibre précaire autant qu’elle interroge le statut de l’artiste.